Musc’art : A la découverte de Béatrice Monge, écrivaine

La Gazette de Frontignan (Musc’artiers) a rencontré Béatrice Monge d’abord virtuellement, sur sa page Facebook (Béatrice Mge auteure) puis sur le site « Groupe Aile et Envol « , avant de s’apercevoir qu’adhérente à l’association frontignanaise des « Auteurs au Soleil», elle se retrouvait cet été aux côtés des autres auteurs sur le marché de Frontignan pour proposer son livre.

Sur le marché de Frontignan le samedi matin.

Première rencontre en « présentiel » (!), premières photos, lecture de son livre « La vie cachée de Mina M » puis proposition qui lui a été faite de participer au Musc’art en ligne par le biais d’un petit questionnaire, destiné à la faire plus largement connaître auprès du grand public.

C’est bien volontiers que Béatrice a répondu à nos questions, lesquelles apporteront, nous l’espérons, un éclairage supplémentaire sur cette écrivaine passionnée qui vient enrichir la vie culturelle frontignanaise et de la région.

1) Pouvez-vous, en guise de présentation, faire un petit résumé de votre parcours « géographique », professionnel et artistico-culturel..

J’habite dans la région de Montpellier depuis que je suis jeune femme. Rapidement, je fus recrutée dans la Librairie Sauramps en tant qu’employée. Quelques années plus tard, j’ai obtenu le DU d’animatrice d’ateliers d’écriture. C’est à ce moment-là que j’ai commencé à écrire mes deux romans et un récit de voyage dans le grand erg oriental.

Mon roman se trouve en quelques exemplaires dans la librairie Sauramps de Montpellier (plus que deux exemplaires).

En parallèle, j’avais créé une association « d’Incitation à La Lecture et à l’Ecriture » pour laquelle j’animais de très nombreux ateliers pour enfants et adultes.

Cela en plus de mes emplois de référente pour des structures de soutien scolaire. Puis, je fus directrice, statut cadre, d’une importante association de soutien scolaire et cours particuliers. Après mon licenciement économique, j’ai repris mes activités de coordinatrice scolaire et ai donné des cours de français jusqu’au bac pour des organismes de cours particuliers.

Enfin, j’ai décidé de retravailler mes romans pour les publier. Une manière pour moi de revenir à mes premières amours, à savoir l’expression écrite et la littérature.

2) Quand et pourquoi avez-vous déclenché l’acte d’écrire? J’écris depuis l’âge de trente-deux ans. Très vite s’est développée en moi cette passion, surtout au cours de ma formation en tant qu’animatrice et lors de mes nombreux ateliers d’écriture.

3) Parlez-nous de la genèse de votre premier livre. Loin de moi l’idée de glisser sur mon nez les lunettes de Freud et d’analyser plus particulièrement ce qui s’est passé durant sa genèse. Les éléments du vécu, les rencontres, les émotions, les sensations et les fantasmes inconscients et conscients nous stimulent. On rattache le tout à un îlot de fiction, et nous voilà en train de construire notre roman.

4) Pourriez-vous nous éclairer un peu sur le thème de votre second livre?

Dans « Le pouvoir de la bague », Julia, jeune fille désinvolte et intelligente a 18 ans. Elle quitte le domicile familial parisien pour s’émanciper et vivre avec sa meilleure amie Audrey. Sa mère, femme de 43 ans, hypersensible et guérisseuse, lui confie une bague en lui affirmant qu’elle a des pouvoirs qui développeront chez elle des perceptions extra-sensorielles précieuses.

Dans ce roman initiatique et quelquefois drôle, les personnages ont soif de liberté, tout en éprouvant le besoin d’exister et de définir des objectifs dans leur vie.

« Le pouvoir de la bague » vient de paraître chez « https://www.bod.fr/librairie/le-pouvoir-de-la-bague-beatrice-monge-9782322258888Books on Demand », tout comme « La vie cachée de Mina M ». Il est aussi disponible dans toutes les librairies sur commande ainsi que sur Amazon, la Fnac, Decitre et Cultura.

Le roman Le pouvoir de la bague posé sur une table avec un bouquet de fleurs.
Composition florale et roman « Le pouvoir de la bague » pour lire au chaud chez soi. Un bon divertissement tout en se cultivant : références littéraires (Baudelaire, Pessoa, Prévert) et une petite analyse de « Chacun sa chimère ».

5) En quoi consistent toutes vos activités destinées à communiquer avec votre public (salons, présences publiques…)?

Cet été, j’ai pu participer à deux speed dating avec « la librairie le Prose » et à des marchés à Vic la Gardiole et Frontignan. Ce fut pour moi une belle manière de me confronter au public et de tenter de me faire connaître. J’espère avoir l’occasion de renouveler ces expériences l’été prochain. Je n’ai pas encore eu la possibilité de faire des salons, car ils ont tous été annulés.

À pied dans le Sahara. Mon récit de voyage dans le Grand Erg oriental.
La couverture de mon récit de voyage dans le Grand Erg oriental.
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